PRESENTATION DU MALI

  PAYS AFRIQUE SUBSAHARIENNE
Superficie (BM, 2018) 1 220 190 km² 21,2 M km²
Population (BM, 2018) 19,1 M 1 078,3 M
Taux d’urbanisation (BM, 2018) 42,4% 40,2%
Croissance démographique (BM, 2018) 3% 2,7%
Taux de fertilité (BM, 2017) 6 enfants par femme 4,8 enfants par femme
Espérance de vie à la naissance (BM, 2017) 58,5 ans 60,9 ans
Part de la population âgée de moins de 15 ans (BM, 2018) 47,5% 42,5%
Part de la population disposant de moins de 1,90 USD par jour (BM) &49,7% (2009) 41,4% (2015)
Taux d’alphabétisation des adultes (BM, 2018) 35,5% 65,6%
Classement IDH (PNUD, 2018) 182/189  182/189
PIB nominal (en Mds USD) (FMI, 2019) 17,6 Mds USD 1 693,8 Mds USD
Part de l’agriculture dans la valeur ajoutée (CNUCED) 40,7% (2017) 17,4% (2017)
Part de l’industrie dans la valeur ajoutée (CNUCED) 18,5% (2017) 28,1% (2017)
Part des services dans la valeur ajoutée (CNUCED) 40,8% (2017) 54,5% (2017)
PIB/hab (FMI, 2019) 924,2 USD 1 571,2 USD
Croissance du PIB réel (FMI, 2019) 5,0% 3,2%

 

UNE POSITION STRATÉGIQUE


 

  • Au cœur de l’Afrique de l’Ouest, Le Mali est le 2ème pays le plus vaste de l’espace de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine;
     
  • 7 pays frontaliers dont les capitales sont à 1H30 de vol;
     
  • Un marché commun de 300.000.000 de consommateurs (source CEDEAO) avec une augmentation projetée a 600.000.000 en 2050;
     
  • Le Mali comprend 641 kms de rail et 12.860 kms de réseau routier.
UNE ÉCONOMIE RÉSILIENTE

3ème ECONOMIE DE L’ESPACE UEMOA ET 6ème ECONOMIE DE L’ESPACE CEDEAO

  • Une libéralisation progressive de l'économie depuis les années 1980 et une privatisation des secteurs clés de l'économie tels que les télécommunications, l'énergie, les transports, ou l'agriculture. Une augmentation spectaculaire de la couverture de téléphonie mobile : de 20% en 2008 à 85% en 2015, pour atteindre 10 millions d'abonnés. 
     
  • Un rythme soutenu des réformes visant à améliorer le climat d'investissement : le Mali se distingue à plusieurs reprises comme l'un des pays les plus dynamiques de la région en matière de réformes au cours de la dernière décennie dans le rapport Doing Business de la Banque mondiale.
     
  • De réels cadres de dialogue mis en place entre les autorités et le Secteur Privé, un Patronat fort avec des groupements professionnels actifs en son sein.
     
  • Des bailleurs de fonds impliqués et souhaitant se rapprocher de plus en plus du Secteur Privé
     

REGLEMENTATIONS FAVORABLES

  • Non-Discrimination
     
  • Rapatriement des profits
     
  • Détention de 100% du capital par un étranger
     
  • Protection contre l’expropriation
     
  • Le Mali est signataire d'accords internationaux relatifs à la garantie des investissements (MIGA) et au règlement des différends (ICIRD, ACJP, OHADA)
     

PLUSIEURS LOIS SECTORIELLES DONNANT DES AVANTAGES

  • Code des investissements
     
  • Code minier et pétrolier
     
  • Loi d’orientation agricole
     
  • Politique des  logements sociaux 
     
  • Politique des énergies renouvelables
     

ACCORDS ENTRE LE MALI ET PLUSIEURS PAYS

  • Promotion et protection des investissements
     
  • Non-double taxation

 

3 SECTEURS MAJEURS
  • Agriculture:  le Mali est 2ème producteur de coton en Afrique avec plus de 500.000 tonnes/an. 
    Elevage:  le Mali est le plus grand pays d’élevage de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine. 
     
  • Energie : Déficit total d’efficience énergétique de 22.600 GWh  attendu d'ici 2030. Demandes à tous les niveaux (gouvernementale, industrielle et domestique).
     
  • Mines : 3ème producteur d'or en Afrique avec 50 tonnes/an. Le Mali dispose, également, d'importantes réserves de fer soit 2 millions de tonnes, bauxite soit 1,2 million de tonnes, uranium soit 5 mille tonnes, ainsi que d'autres ressources telles que les phosphates, le cuivre, le plomb, le zinc, le lithium, ou le calcaire.

Fort Potentiel en Pétrole et gaz : les recherches initiales révèlent cinq bassins à fort potentiel. La législation a été révisée pour encourager l'exploration du pétrôle et du gaz, mais ses ressources se trouvent dans une zone où l’état peine à sécuriser malgré la présence de l’armée française
 

INVESTIR DANS L’AGRICULTURE ET L’ELEVAGE

 

  • Le bétail malien connait une croissance annuelle de 3 % pour le bétail et de 5 % pour les moutons/chèvres
     
  • Le bétail malien se caractérise surtout par sa diversité génétique robuste (8 races bovines, 6 races ovines, 5 races caprines, 5 races équines)

 

INVESTIR DANS L’ENERGIE

DES SOURCES ENERGÉTIQUES DIVERSIFIÉES

  • Le THERMIQUE ,la croissance projetée dans les secteurs minier et industriel + la demande intérieure devraient maintenir un important déficit dans l’offre d’électricité
     
  • Le SOLAIRE, capacité potentielle (5 à 7 kWh/m²/j) La durée d'ensoleillement varie entre 8 et 10 h/j
     
  • La BIOMASSE Volume disponible de 500 millions de m3 Capacité de production d'énergie potentielle de 300 MW
     
  • L’EAU, le potentiel hydroélectrique est estimé à 1150 MW et 5600 GWh/an Seulement 300 MW sont actuellement exploités
     
  • Le VENT, Vitesse potentielle du vent de 3 et 7 m / s en moyenne annuelle


INVESTIR DANS LES MINES ET LE PETROLE

  • 3ème producteur d'or en Afrique avec une moyenne de 50 tonnes/an
     
  • Près de 2 milliards de dollars de valeur d'exportation générés en 2017
     
  • Plus de 14 substances minérales identifiées dans tout le pays (lithium, chrome, or)
     
  • 30 ans de validité du permis minier
     
  • Régimes fiscaux et douaniers stables et garantis pour le titulaire du permis d'exploitation
     

Fort potentiel de découverte et d'exploration pétrolière

  • 4 bassins à fort potentiel confirmés par des enquêtes
     
  • Loi existante pour encourager l'exploration
     
  • Travaux existants et analyses effectuées par des sociétés internationales disponibles pour acquisition
     

AUTRES SECTEURS PORTEURS

- INVESTIR DANS LES TRANSPORTS & INFRASTRUCTURES

  • Réseau routier de 89 024 km dont 5 700 km couverts,
     
  • Un aéroport international à Bamako et 4 grands aéroports à Kayes, Mopti, Gao et Kidal

  • Réseau ferroviaire de 729 km, dont 643 voies principales reliant Koulikoro, Bamako et le Sénégal.
     

- DES INVESTISSEMENTS MASSIFS SONT ENCORE NECESSAIRES

  • Rénovation et extension du réseau ferroviaire
     
  • 2 500 km de tronçons navigables non aménagés (fleuve Niger et fleuve Sénégal)
     
  • Forte urbanisation nécessitant un réseau routier plus dense et un programme de logements sociaux agressif
     
  • Aménagement urbain
     

- SANTE
- EDUCATION & FORMATION PROFESSIONNELLE
- NTIC
- BANQUE & ASSURANCE
- LOGISTIQUE TOURISME & HOTELLERIE
- L’INDUSTRIE
- LES SERVICES

P.P.P.
  • L’aménagement urbain des berges du Niger de Bamako, 935 millions €
     
  • Construction d'un 4ème pont à Bamako, 103 millions €
     
  • Construction d'un port sec à Kayes, et un autre à Sikasso, 15 millions €, afin d'augmenter le volume et le rythme des échanges (importations et exportations)
     
  • Plusieurs projets dans l’énergie, > 95 millions €, à Noumoubougou, Markala, Bamako afin de répondre à la demande croissante d'énergie dans les régions en forte croissance démographique.